Petit frère, je t'ai vue naître, je t'ai vue grandir. Petit frère, à ton arrivée à la maison j'était fière et heureuse de t'accueillir. Enfin j'allais pouvoir jouer avec quelqu'un, enfin tu allais pouvoir remplir le cœur de maman, le cœur de papa, de joie. Nous avons grandis, et nous étions confidents, tu m’apprenais à jouer au foot, ou encore à Play, et moi je t'aidais pour les devoirs. Soudain, tu ne voulais plus partager tous ces moments avec moi, ni avec maman, ni avec papa. Tu n'avais qu'une seule chose en tête : sortir. Aller voir ces personnes qui ne te voulais ni bien ni mal. Ces personnes là ne voyaient que leurs intérêts. Ne sais-tu pas que tu as une famille qui t'aime ? Ne sais-tu pas que toutes mes prières te sont consacrées ? Ne sais-tu pas que ta mère a passé des nuits entières à se retourner dans son sommeil léger, pour toi! alors que tu n'es plus un nourrisson. Petit frère est maintenant un jeune homme, un jeune homme qui avait de l'avenir, toute une vie à construire, mais il l'a passé à s'auto-détruire.
À tous ces enfants, à tous ces adolescents, à tous ces jeunes adultes, à tous ces adultes, sachez qu'en gâchant votre vie, vous gâchez celle de vos proches, sachez qu'en appelant d'autres à votre mode de vie, vous brisez des familles.
À tous parents, à tous frères et sœurs, sachez qu'en ne montrant pas à votre famille que vous les aimez, quelqu'un d'autre s'en chargera malhonnêtement, sachez aussi que Marie-Jeanne est là pour leur remonter le moral.
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